Tu peux me dire combien tu gagnes
Tu peux me dire combien tu vaux
Faire défiler tes belles histoires,
Montrer tes vacances en photo,
Tu peux me compter tes succès,
Tout ce bonheur que tu engranges,
Tes tours du monde en jet privé,
Le nom des femmes que tu mélanges.
Car je ne suis pas jaloux,
Pas jaloux, pas jaloux, oh non,
Il n'y a pas de malaise,
Si pour toi tout va pour le mieux,
Non je ne suis pas jaloux, Pas du tout, pas du tout, oh non,
Pas de raisons que tu taises,
Ce qui te rend un homme heureux.
Tu peux me dire qu'elle m'a quitté,
Qu'elle vit le plus grand des bonheurs,
Qu'il l'aime comme j'aurais dû l'aimer,
Et qu'il lui fait battre son cur,
Tu peux me regarder de haut,
Dire qu'il n'y a pas de hasard,
Afficher un monde sans défauts,
Caché derrière tes uvres d'art.
Car je ne suis pas jaloux,
Pas jaloux, pas jaloux, oh non,
Il n'y a pas de malaise, (malaise) Si pour toi tout va pour le mieux,
Non je ne suis pas jaloux,
Pas du tout, pas du tout, oh non,
Pas de raisons que tu taises,
Ce qui te rend un homme heureux.
Je ne donne pas de leçons,
Je ne jette pas la pierre,
Chacun a sa façon,
Et les dieux qu'il vénère,
Le monde est comme il est,
Et je reste comme je suis,
Un peu moins que parfait,
A l'image de la vie, oh.
Car je ne suis pas jaloux,
Pas jaloux, pas jaloux, oh non,
Il n'y a pas de malaise,(malaise)
Si pour toi tout va pour le mieux,
Non je ne suis pas jaloux,
Pas du tout, pas du tout, oh non,
Pas de raisons que tu taises,
Ce qui te rend
Non, non,
Non je ne suis,
Non pas jaloux,
Pas du tout, pas du tout, oh non,
Il n'y a pas de malaise,
(malaise)
Si pour toi tout va pour le mieux,
Non je ne suis,
Non pas jaloux,
Pas du tout, pas du tout, oh non,
Pas de raisons que tu taises,
Ce qui te rend un homme heureux.