Album: L'Esprit Inter 03 - le son de France Inter
Une porte qui claque,
Un, deux, trois verres de cognac
tombent en vrac c'est l'attaque et puis elle craque.
Limbes, solitude, lassitude, se dénude une prélude inquiétude interlude d'une jeune fille prude.
C'est juste une fin un peu banale,
le final, terminal histoire sentimentale qui fait son carnaval
Puis vient la renaissance, imprudence on s'en balance, c'est la démence.
Passé composé d'une épopée démesurée, délurée, incendiée même oubliée.
Futur de quelques murmures, écriture nocturne d'une aventure aux allures obscures.
Paroles qui dérapent,
Un deux trois gouttes sur la nappe;
Il l'attrape elle le frappe.
Prochaine étape, puis on se bagarre, se sépare, départ pour un long cauchemar style polar en boulevard d'un beau bazar.
Ce sont les restes d'une ivresse de jeunesse de vieillesse une tendresse qui s'abaisse à la tristesse.
Souvenir, de ces beaux sourires quelques soupirs pire qu'un désir, trace d'un délire.
Passé composé d'une épopée démesurée, délurée, incendiée même oubliée.
Futur de quelques murmures, écriture nocturne d'une aventure aux allures obscures.
Passé composé d'une épopée démesurée, délurée, incendiée même oubliée.
Futur de quelques murmures, écriture nocturne d'une aventure aux allures obscures.
Aux baisers ratures,
Aux parfums impurs,
Aux corps immatures...
Passé composé d'une épopée démesurée, délurée, incendiée même oubliée.
Futur de quelques murmures, écriture nocturne d'une aventure aux allures obscures.
Passé composé d'une épopée démesurée, délurée, incendiée même oubliée.
Futur de quelques murmures, écriture nocturne d'une aventure aux allures obscures.
C'était juste une rupture, morsure, cassure, fêlure, quelque chose qui se casse, qui te dépasse, des planchers que l'on débarrasse.
C'est ton cœur que l'on dévaste, c'est quelque chose qui finira par se tasser.
(Merci à Fanelise. pour cettes paroles)