Ma sueur congèle,
quand je sens que j'ai froid.
mon uniforme est jaune,
mon âme est celle d'une donzelle,
mon décor est le brésil.
mon envie s'éveille,
quand je veux plus.
je laisse la porte ouverte,
la visite est certaine.
comme ça je vis en paix.
mes longs cheveux,
ne te laissent pas voir,
le contour de mes épaules,
où les mandarins et les colombes,
se pausent sans vouloir.
ma voix résonne,
n'importe où.
des griffes de lionne,
si la proie est bonne,
sinon laisse.
mon corps balance,
tourne sans s'arrêter.
d'un pas de danse,
jusqu'où l'on peut aller,
je commence à voler.
mes longs cheveux,
ne te laissent pas voir,
le contour de mes épaules,
où les mandarins et les colombes,
se pausent sans vouloir.
(Merci à Rémi Chatain pour cettes paroles)