Au temps du pensionnat,
Des sanglots pleins d'algèbres
Mais au bout des corridors brillait un univers

Les écolières dont je me remémore, aimaient la colle autant que moi
Et les classes enfin finis fumaient en bande
Sans qu'on les voit

Dans les ruines monotones
Rodent des lycéennes hilares et belles après l'école (refrain)

Là où je m'abime l'herbe à rouillée ma bécane
Ici je fossilise sous les averses du mois de mars
Bientôt momie
Feu jeune génie des motards
Plus qu'un engrais sans regret, aucun

Refrain

Restez majorettes
Vos secrets me consolent
Pour vous j'ai refusé le ciel
Et un voyage en météore
Alors piétinez, piétinez, piétinez là encore !

Refrain x2

(Merci à Victor pour cettes paroles)

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