Album: Un éternel hiver
Je sais pas ce qui rend
Ma patience si courte
Je me sers sans doutes
Dans des verres trop grands
Des portions de rhum à saoûler d'un trait
Une bonne douzaine d'hommes forts et Polonais
Je ne comprends pas bien le mal qui m'habite
J'ai au creux des mains comme d'la dynamite
Ca m'anéantie de te faire d'la peine
Alors que je t'aime plus que c'est permis
Ref:
Les remords me rongent et je me repends
De tout mes serments de tout mes mensonges
Tu es la lumière de notre bercail
T'es mon seul repère
Je veux pas que tu t'en ailles
Quand jm'entends crier et que j'te vois qui chiale
Je me sens plus sale que mes cendriers
J'ai peur que tu t'lasses
De mes vieilles ruses
Les dix milles excuses que je te ressasse
Y'a que toi qui comprend
Qui sent mon malaise
Que toi qui apaise
Mes plus vieux tourments
Que toi qui accepte que mon corps explose
Et qui ne rejette pas mes bouquets de roses
Ref:
Les remords me rongent et je me repends
De tout mes serments de tout mes mensonges
Tu es la lumière de notre bercail
T'es mon seul reèere
Je veux pas que tu t'en ailles
Y'a que toi qui m'offre une descendance
Tu es de l'étoffe,t'es forte,t'es grande
Tu es ma déesse et mon paradis
Si fallait que tu me laisses je serai démoli
Je rêverai gueule ouverte,sans émettre un cri
Comme un chat de gouttiere,au bord d'un boulevard
Comme mon vieux père,qui c'est assoupi
Le regard hagard dans notre chaumière
Je t'en supplie reste donne moi un sursis
C'est une promesse,je serai gentil
Je n'serai que tendresse,je me ferai soumis
Si jamais tu me laisses,devenir ton mari
Ref:
Les remords me rongent et je me repends
De tout mes serments de tout mes mensonges
Tu es la lumière de notre bercail
T'es mon seul repère
Je veux pas que tu t'en ailles
Parlé,Yves:
Je veux tant que ta main me caresse
Et que ton coeur me redresse
Malgrè mes maladresses
Qui souvent te font peur
Lynda:
Si c'est vrai qu'entre gouffre et falaise
Y'a que mon souffle qui t'apaise
Y'a que mon rire qui te soigne
Je veux devenir ta femme
Et te retenir,au sommet de la montagne
(Merci à Nora pour cettes paroles)