J’dépasse un peu tout ça
La route est longue où tu n’es pas
Au loin 5 ou 6 pylônes
De jolies choses
Monochromes
Je suis parti tôt ce matin
Mes promesses ne valaient rien
Un dernier mot sur l’étagère
Le cœur qui lâche est un mystère
J’t’ai laissé dans tes draps
Dans cette baraque en contrebas
Qui pousse entre les pylônes
Ces jolies choses
Monochromes
Je suis zéro sur ce chemin
Pas sur que j’veuille aller plus loin
J’ai les idées qui rétrécissent
Le cœur qui tourne est un supplice
Ça doit être ça qu’on appelle les allergies à l’envers
L’envie d’se faire piquer par la belle abeille
Une allergie à l’envers
Tout pareil
Une putain d’peur d’envie d’toi (bis)
Juste 2 plombes pour en arriver là
Conclusion : pas des masses de pas
J’crois même qu’on peut m’voir des pylônes de chez toi
Ce minime homme
Monochrome
Même si tu t’es levée la belle
N’oublie pas de m’être cruelle
Surtout ne r’vient pas sur mes pas
Pour une fois qu’j’ai le cœur qui bat
Ça doit être ça qu’on appelle les allergies à l’envers
L’envie d’se faire piquer par la belle abeille
Une allergie à l’envers
Tout pareil
Une putain d’peur d’envie d’toi (bis)
Et c’est le printemps j’oublie pas
Et c’est le printemps j’oublie pas
Et c’est le printemps j’oublie pas
Et c’est le printemps j’oublie pas