o yoooo... oyoooo... oyoooo...
general ! general ! general !
approchez mes chers freres, approchez mes cheres soeurs
c'est le retour du roi du hardcore sur un son du ter-ter gros
symphonie des fauves en sol majeur
amin dada dans l'attitude au coeur de ma dictature
des traces de ligatures sur ton rap que j'prends en otage
entre ma vie d'rue et la zicmu, le rapport est sauvage
rien qu'on parle de wam depuis qu'mon rap a change
tout ce que j'avais; le compte, le benef de ton 100g
une grosse envie de s'venger
la drogue est vendu, la langue est pendue
comme un spartiate tu diras de moi que j'me suis bien defendu, oh
j'ramene la mode comme une gomme pleine de pilons
assumes tes actes et n'attends pas l'effet papillon
oui, le beton reve de grosses sommes
moins d'butins si l'ghetto aurait la matiere grise a grissom
un ciel gris pour une enfance outragee
intemperie au coeur du colise
alcoolises sont nos flots de larmes
la vie d'cite prend des allures a ze pequ'
zig zag entre les bastosses, bwla bwla dans le buffet
dans mon cosmos les etoiles ne brillent plus
le soleil meurt, c'est la lune qu'eclaire le bitume
nique ta grand-mere, mon son ne gratte pas l'amitie
j'suis comme achille de troie, avec quatre fois moins de pitie
le fous sur l'echiquier, mon rap game c'est au cimetiere
la faucheuse dans tes cauchemars que te sort du sommeil heeey
au soleil couchant, les vampires sortent du chateau
presente-moi ta rose, et j'te sors le char d'assaut
la violence tah bagdad, trop d'rage dans mon bagage
j'comdamne les portes de l'echec par les clous de la victoire
noire est l'histoire quand tu grandis dans la rue
[quand tu grandis dans la rue]
c'est les tenebres dans les abysses de ma blessure
ok, j'ai la langue de feu qui vous derange
un rap accessible mais rare comme un supercharge orange
(citation : le dernier roi d'ecosse)
« oui, je porte cet uniforme de general
mais couni muyiamo, dans mon coeur je suis un homme normal ...comme vous !
je sais qui vous etes et ce que vous etes, je sais tous ca. je suis vous !
demandez a mes soldats... de toute ma vie, je n'ai jamais commence a mange tant
que mes chers soldats n'avaient pas mange ! »
oyoooo... oyoooo... oyoooo...
general ! general ! general !