De jolis virages où le remord sédente
Où les voies se découvrent la promesse de la faim.
Lorée se dérobe sous les pièces maîtresse,

Lempire savale au vertige des longueurs.

Loracle délie lophidien de lestuaire,
La clef des rivières, du mystère de lairain.
Nous suons ensemble ainsi leau sévapore
De petites alertes, des menaces qui se perdent.
Se donner à lorage, à lappel du grain.

La belle écuyère, à de largent dans la bouche,
Une langue roulée, moulée à ma bouche.
De gourmandes images, des vallées adaptées
Où les lianes saffolent où les bêtes sanémonent.

La terre a la marque du sourcier qui la plante,
Affluant de toutes part, la lignée se concentre.
La semence du milieu dont les terres se réclament,
Ecaille les archers quand le sursis travaille

Des veines insondables mangées par les broussailles
Aiguillent les sauvages aux allées qui tiraillent.
Siamoiseries de selle, des croisières incertaines,
Quand la bête sonne quand lécume bouillonne.

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