Album: La Marche

Ce que tu parcours à pas courts ou à grandes foulées.
Ce que tu défoules à travers la foule qui te fouille, te chatouille.
Le chemin que tu traces qui si souvent te dépasse, qui t'excite, qui t'agace.

Les tours de passe-passes au fond des impasses.

Rien n'est à toi.
C'est juste l'histoire du monde,
rien n'est à toi.
Chacun sa petite seconde, rien n'est à toi.
C'est juste l'histoire du monde,
rien n'est à toi.
Chacun sa petite seconde.

Tout ces maux qu'il aura fallu soigner,
tout ces idéaux desquels s'éloigner,
toutes les têtes qu'il aura fallu briser,
tout les cœurs qu'il aura fallu piétiner.
Tout ces jours à croire pour cent,
tout ces jours à pleurer, toutes ces rencontres à contre vent,
tout ces œil pour œil et rentre dedans, rentre dedans, rentre dedans, rentre dedans, pourtant...

Rien n'est à toi.
C'est juste l'histoire du monde,
rien n'est à toi.
Chacun sa petite seconde, rien n'est à toi.
C'est juste l'histoire du monde,
rien n'est à toi.
Chacun sa petite seconde.

Tout ces châteaux d'efforts aux ponts de vies,
tout ces murmures d'armures faisant voler les murs.
Toutes ces forces en faces à faces,
tout ces fous qui font des grimaces.
Tu t'en fous, tu laisses ta place.
Ta seule richesse est ton sentiment qui te pousse vers l'avant.
Rentre dedans, rentre dedans, rentre dedans, rentre dedans, pourtant...

Rien n'est à toi.
C'est juste l'histoire du monde,
rien n'est à toi.
Chacun sa petite seconde, rien n'est à toi.
C'est juste l'histoire du monde,
rien n'est à toi.
Chacun sa petite seconde.

(Merci à Mirza pour cettes paroles)

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