Silencieuse comme l'aspirine
Tu t'imprègnes de mon adn
Comme de la naphtaline
Malheureuse, je t'imagine
Quand même un peu plus digne
Nous ne sommes plus vraiement les mêmes
À en croire les signes.
Je pleure ce qu'il reste de ma petite mort
Ces quelques suées inodores
Je pleure ce qu'il reste de ma petite mort
Je veux sourire quand je m'endors
Ambitieuses jolies ritournelles s'endorment
Au fond du lit
Consensuelles et au mépris
De nos passerelles.
Je pleure ce qu'il reste de ma petite mort
Mais j'y retournerai encore
Je pleure ce qu'il reste de ma petite mort
Je veux sourire quand je m'endors
Malicieuse au fond du Jean, magicienne
Comédienne qui voudrait tant faire mine
Que ça revienne.
Je pleure ce qu'il reste de ma petite mort
Ne faisons plus mentir nos corps
Je pleure ce qu'il reste de ma petite mort
Je veux sourire quand je m'endors