Je n'emporte rien,
Quelques cendres,
Les marchands de rêves,
N'ont plus rien à vendre.
Regarde les lignes de nos mains,
Ce qu'elles racontent,
Le destin,
Je crois qu'il nous trompe.
Il parait qu'y hier on s'est aimé,
Mais y hier c'est loin quand il est minuit passé.
Je n'emporte rien,
Un peu de ma nature,
Le sommeil,
Est la seule chose qui dure.
Ne te perds pas en chemin,
Au fur et à mesure,
De l'air,
En manqueras-tu ?
Et mieux vaut fermer les yeux, fermer les yeux,
Mieux vaut courir et courir.
Fermer les yeux mais fermons les yeux,
Mieux vaut courir et courir.
Il parait qu'y hier on s'est aimé,
Mais y hier c'est loin quand il est minuit passé.
Il parait qu'y hier on s'est aimé,
Mais y hier c'est loin, il est minuit
passé.
(Merci à Acide-Zen pour cettes paroles)