Album: Edition collector (11 Septembre + Jihad)
La tempête provient de l'Islam et des banlieues, des marginaux installés sur la terre du milieu.
Cachés sous leurs voiles sur les lignes de transport, leurs barbes sont trop longues interdites d'aéroport.
C'est légitime si l'on cède à la psychose, un immigré trop studieux ça couvre quelque chose.
Dans leurs trousses, couteaux, cutters et canifs, des manuels de pilotage dans un cartable explosif.
Des lobotomes de la télévision, les médias sont les juges des procès d'intention.
Fournisseurs d'intox au kilogramme, de l'amalgame terrorisme et Islam.
Dans mon ghetto on a peur de l'avion et les femmes impressionnent beaucoup plus que Cendrillon.
Et c'est juste par manque de culture, qu'Oussama Ben Laden est écrit sur les murs.
11 septembre, voilà une date à retenir, comme celle qui secoua une partie de notre avenir.
Et quand la violence gratuite est un commerce, « Ni violeur ni terroriste » un slogan qui bouleverse.
Refrain :
Ni violeur ni terroriste, Ni macho, ni proxo, ni terro, ni rigolo, ni bourreaux, ni gigolo.
Ni violeur ni terroriste, ni violent, ni racailleux, ni vilain, ni orgueilleux, ni violeur, ni crapuleux.
Ni violeur ni terroriste, c'est pour les ghettos qui montrent l'exemple les banlieues qui s'accrochent à la rampe.
Ni violeur ni terroriste, c'est pour les Hommes et les djinns, les hijabs et les jeans, Aboubakr et Médine.
Si nos âmes s'arment c'est pour le combat après la mort. A ce qui paraît on sent la poudre vous combattez l'Islam lorsqu'elle est de manière apparente.
Il y a un temps pour la paix « salaam » (1), un temps pour la guerre « Harb » (2).
Je ne combat pas par principe, je ne reconnais la guerre qu'en cas de contrainte, emprunte le même chantier.
On est entier sur le même sentier, mais on ne pisse pas dans les mêmes latrines.
Des heures de présence pas au service de tes lois.
Mon premier devoir est envers Dieu, vu que ta loi n'est qu'un interdit.
Pour nous, mecs de tess, on presse bas les compresses.
Je suis cette averse qui perce qui te blesse, transperse ces herses, renverse ces caisses, bouleverse ta presse, je presse sans cesse.
Encaisse ce coup de press ! Dans ce tiequ (quartier), c'est la tess.
Les vrais les khokhones comme Alvares, ceux qui ne stresse pas devant les CRS.
Des brins provocateurs mais pas de violeur, une longue liste mais pas de terroriste.
Ferme ta bouche dans nos blocks il n'y a pas de Dutroux, pas de Sharon et encore moins de Bush entre Khèl et ralbouche.
Refrain x 2