(Eddy Marnay / Paul Mauriat)
J'ai trouvé mon étoile
Tout haut d'un arbre géant.
J'ai trouvé le soleil
Au creux d'une larme d'enfant.
J'ai vu des mains offertes
Me donner ce qu'elles n'avaient pas,
Des blessures ouvertes
Se fermer au cri de ma joie.
J'ai trouvé des preneurs
Que d'autres ne trouvent jamais.
J'ai trouvé dans l'hiver
Ce qu'on ne découvre [...].
Et je ne peux que le dire
Merci cent mille fois.
Il n'est rien, presque rien,
Que je n'ai pas.
J'ai trouvé des preneurs
Que d'autres ne trouvent jamais.
J'ai trouvé dans l'hiver
Ce qu'on ne découvre [...].
Mais avant de vous dire
Que le monde est à moi
Il me reste à trouver
Celui qui m'aimera.