Comme la peur te rend bien silencieux,
Cerné par le cri des zombies dans le vent furieux,
Je viendrais te chercher sous le feu.
Les morts vivants n’ont qu’à saigner un peu.
Oh toi l’animal, de nuit, zombie.
Tu n’es pas destiné à te déguiser.
Oh toi l’animal, de nuit, sans cris.
Tu n’es pas destiné à te cacher.
Laisse les regrets pour tes aveux,
La mélancolie pour tes aïeux ou tes adieux,
Je viendrais t’aimer pour tes yeux curieux.
Les zombies n’ont qu’à se manger entre eux.
Oh toi l’animal, de nuit, zombie.
Tu n’es pas destiné à te déguiser.
Oh toi l’animal, de nuit, sans cris.
Tu n’es pas destiné à te cacher.
Traquer, chasser, « mollir » des zombies.
Traquer, chasser, trahir, zombies.
Animal travesti en zombie,
Animal affranchi des zombies.
Oh toi l’animal, de nuit, zombie.
Tu n’es pas destiné à te déguiser.
Oh toi l’animal, de nuit, sans cris.
Tu n’es pas destiné à te cacher.
Zombie.
(Merci à bourgues pour cettes paroles)