Album: Waltz in the Midst of Trees

Etal(e) tes tristes draps,
Noie donc tous ces pétales
Comm(e) brume à l'infini

Qui toujours surprend l'Homme.
Ton parfum glisse frais
Sur la terre enneigée

Marbré tel ton regard,
Art obscur(e) sublimé
Chaque soir il scintille
Si cachés soient les lacs.
Ne sont-ce que les sages
Qui goûtent à ton image?
...qui goûtent à ton image...

Reine de toutes nuits,
Lit les stanc(e)s de ma peine
Cell(e) qu'inflige la vie
Si elle t'ignore, Belle.
Mon âme n'aspirait
Qu'à pouvoir te toucher

Quant apparaît le jour,
Sourd et si insolent,
Tu fuis alors sans grâce
Face à cet astre nu.
Combien j'ai regretté
Cette réalité

...que la mort volera

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