Laisser flotter l’absurde de ces :
on m’enferme pour boire et on me chasse pour fumer
Laisser couler l’absurde de ces :
je suis musicien mais je vis la vie d’un cuisinier
Laisser croire en l’absurde de ces :
L’homme est un loup pour l’homme à s’autotuer
Laisser penser l’absurde de ces :
Pour vivre heureux vivons caché
Refrain (Chorus):
Libérer l’absurdité de ma réalité
Laisser traîner l’absurde de ces:
on est jamais satisfait de c’que l’on a, de c’que l’on est
Laisser danser l’absurde de ces :
un été enneigé ou un hiver ensablé
Laisser libre l’absurde de ces :
pour s’faire entendre on part toujours manifester
daisser penser l’absurde de ces :
L’habit du moine fait si bien le policier
Pour vivre heureux vivons caché
Refrain…/
Maintenant que tout y est et que tu es là,
Maintenant que tout est fait et que tu me crois,
L’absurde reste là, l’absurde reste là!
Maintenant que je me sens aussi sûr de moi que je te sais aussi faible que moi,
Maintenant que tu me plaîs autant que l’absurde me noie,
Maintenant que l’absurde encore ne me donne pas le choix!
Je ne suis pas sourd, ni muet, ni même mort,
pourtant les singes de Gandhi m’ont appris à respecter le handicap
de celui dont les sens sont soumis au hasard de la vie
tu s l’insomnie de mes jours qui fait que je ne dors pas de nuit,
tu s l’insomnie de mes jours qui fait que je ne sors pas dehors sans mélodie en tête,
qui fait que ma vie est un conte et que comme le chat j’en ai 7
C’est l’histoire absurde d’un conte égaré
dans lequel on raconte la vie absurde d’un mec égaré
dans son bled paumé le petit bonhomme à rêver d’une fille belle comme le jour,
d’une belle fée de toujours, qui s’amuse à jouer des humeurs qui court dans le corps du rêveur assoiffé d’histoires de pleurs, d’amours et de coeurs,
blasé du leur le rêveur se donne la mort, et se réveil en sueur.
(Merci à typhaine pour cettes paroles)