Back to the future
Ouais, ouais
Eh tu me dois du blé, toi !
Eh toi tu me dois du blé pauvre enfoiré ! (N.I.R.O.)
File-moi mon blé fils de pute !
*Bruit de balle*
Quatre-vingts dix euro la bord, Viva Street
Bon pour la psychiatrie, trop de temps passé dans la piraterie
Je suis déclassé y a plus rien qui m’attriste, y a que la hagra qui est fédératrice
À part quelques vrais que je respecte, je laisse tous ces fils de pute dans leur matrice
Le temps est passé depuis l’époque où je faisais des faux chèques en bois pour acheter mes habits
Aujourd’hui ces salopes font la queue, sont prêtes à faire des combats pour venir sucer ma bite
Quelle ironie, y a 10 piges, cette pute faisait la belle devant nous
Maintenant elle suce tellement mon équipe qu’elle en a des croutes sur les genoux
Elle parle de grosse somme, consomme que mes culs de joint dans le cendrier
C’est chelou t’es pas une cochonne mais ta schnek elle pue le sanglier
Quelle ironie, des barres de rire, ils sont à fond dedans, vraiment mignon
Quelques clics, ils sont content, on dirait qu’ils ont pété le million
Mais ils se rendent pas compte en vrai que des attractions de la honte en scred
J’aimerais bien leur donner le pouvoir juste pour voir ce qu’ils en font après
On est devenu ce qu’on voulait pas être, à force de miser sur le paraître
Les vrais disparaissent, on n’a pas la maladresse de s’allonger comme Enora Malagré devant Pharrell
Tu crois qu’on joue, c’est chaud ma gueule
Miraculé, c’est chaud ma gueule
2014 on prend les rênes, c’est chaud ma gueule
Rivaliser à ça, chaud ma gueule
Viva street, viva street
Quatre-vingts dix euros la bord, Viva Street
Le rap game c’est de la baise, Viva Street
Quatre-vingts dix euros la bord, Viva Street
Je pourrais passer des semaines dans le désert, à te parler de leur seum sans réserve
Quand j’arrive ils me regardent chelou, on dirait que je baise leur sœur pendant des heures
Y a ta sale pute qui arrête pas de m’appeler, les rappeurs et les tasses-pé veulent m’attraper
Même si tu m’aime pas tu cliques quand même, j’ai plus d’ennemi que Fif de Booska P
Faut voir ce que la réussite te ramène, que des ennemis sur la vie de ma mère
Tu auras beau chanter la rue mais la rue c’est pas ta mère, t’auras ce que t’auras, ça dépend ce que t’amène
Ta bouche me parle mais ton cœur me ment, j’arrive plus à faire de discernement
Y a que les enfants qui sont innocents, quand j’y pense mon petit frère me ment
Je garde mes distances pour rester constant, ils m’envient tous mon acharnement
On les respecte plus depuis longtemps, comme les clowns du gouvernement
Ma folie, je suis pas responsable
L’ancien mari de ma daronne a coupé une jambe j’avais même pas douze piges, je revois le sang couler sur son sabre
Donc faut pas s’étonner de la folie des gens, nous, on s’en bat les couilles de ta légende
Je te le répète, y a qu’un P.D. qui cherchera à savoir ce que t’as entre les jambes
L’avenir est dans la broyeuse, la voix est trop racailleuse
Si je te raconte toute ma vie, la tienne va t’paraître beaucoup plus joyeuse
Tu crois qu’on joue, c’est chaud ma gueule
Miraculé, c’est chaud ma gueule
2014 on prend les rênes, c’est chaud ma gueule
Rivaliser à ça, chaud ma gueule
Viva street, viva street
Quatre-vingts dix euros la bord, Viva Street
Le rap game c’est de la baise, Viva Street
Quatre-vingts dix euros la bord, Viva Street
Eh les rappeurs vous êtes tous nuls
Le meilleur c’est Niro, gardez tous la pêche
(Merci à Pierre pour cettes paroles)