Album: Opéra Puccino
J'ai peur de la mort, je le sais 
Je l'ai vue épeler mon nom appeler des amis 
jamais je les ai revus j'ai peur qu'sans moi 
										
La vie suive on cours qu'un autre con touche ma thune 
Que ma fouf' change de pine 
Et qu'une quelconque loque me copie 
Que mes potes m'oublient qu'à chaque fois que ma mère 
Ouvre les yeux ses larmes aient doublé 
Ne pas voir son gosse pousser, frotter son dos quand il tousse, 
Toucher d'autres foufs que ta meuf 
Si demain le pire arrivait 
Prends ce texte tel un testament 
Pas de biens à partager 
Sauf mes sentiments nos soucis ne sont pas les mêmes, fiston 
Ne mélangeons pas nos pensées 
J'pense qu'on sera jamais amis 
Refrain (x2) 
C'est l'existence et ses châtiments 
L'amour des proches est d'or 
J'ai mouru 1000 fois 
Quand Dieu les rappelait à l'ordre 
Profites-en encore tant que t'as le temps 
Nos vies se raccourcissent 
Chaque jour écoute le compte à rebours 
Pour mourir y'a 1000 façons peu le choisissent 
La faucheuse n'oublie personne ni toi ni moi jamais oisive 
J'en passe des façons de s'casser d'la téci 
Des potes qui se disloquent en caisse des se laissant suicider 
Tant d'vies perdues Dans le triangle love des bermudes 
Un type une fille dénudés et tu viens tu vois te fâches 
En tue un Le rouge coule un bougre au sol l'autre en taule, 
Drôle de vie dire que tout ça part de l'amour 
On dit perds pas l'espoir faire quoi quand un sale faire-part 
Dit que ton père part d'un cancer 
De toute façon c'est ça ou autre chose 
Il y a mille façons d'être soustrait 
De laisser les joues arrosées 
Refrain (x2) 
C'est l'existence et ses châtiments 
L'amour des proches est d'or 
J'ai mouru 1000 fois 
Quand Dieu les rappelait à l'ordre 
Profites-en encore tant que t'as le temps 
Nos vies se raccourcissent 
Chaque jour écoute le compte à rebours 
Ceux que tu aimes vraiment 
Tiens-les tel une poignée de sable 
Pendant la tempête n'écarte jamais les doigts 
Ou toute ta vie tu le regretteras amèrement 
Et ceux qui t'aiment, adore-les avant la housse car les regrets 
Ne servent à rien arrivés dans l'au-delà 
Aimer ses amis sans baliser croire que la vie est longue 
Jusqu'à réaliser l'erreur lors d'une chère fin de vie 
Le pire dans la perte c'est pas l'être aimé 
Mais le temps de se consoler car quand on meurt 
C'est pour si longtemps ce qui est à craindre 
C'est qu'à force que tes proches se taillent à la morgue 
Tu finis par être plus mort qu'eux 
Vu qu'à chaque fois qu'on perd quelqu'un de cher 
On meurt aussi un peu facile d'écrire mourir mille fois 
Refrain (x2)