Il n'a rien sur le dos,
Et ça c’est beau.
Elle regarde ses mains,
Et ça c’est bien.
Puis c’est un indien d’Amériqu
Au moins, elle, dans ses bottes toutes rouges, faut pas qu’elle bouge.
faut vraiment qu’il soit
complètement marteau
pour qu’il lance comme ça des couteaux
faut,
faut vraiment qu’elle l’aime
qu’elle l’ait dans la peau
faut,
faut vraiment qu’elle l’aime
Pour qu’il lance comme ça des couteaux
S’il lui touche le cœur,
C’est là qu'elle meurt !
Si elle éternue,
Elle est toute nue !
Comme il ne l’attache plus,
Elle se sent perdue
Et les yeux bandés,
Faut pas le chercher.
faut vraiment qu’il soit
complètement marteau
pour qu’il lance comme ça des couteaux
faut,
faut vraiment qu’elle l’aime
qu’elle l’ait dans la peau
faut,
faut vraiment qu’elle l’aime
Pour qu’il lance comme ça des couteaux
A d’autres, elle aurait caché ses blessures,
Sa peau blanche puis ses peintures.
A d’autres, il aurait fait mal.
Un autre, elle aurait eu mal.
Mais lui, lui, c’est sa bonne étoile.
faut vraiment qu’il soit
complètement marteau
pour qu’il lance comme ça des couteaux
faut,
faut vraiment qu’elle l’aime
qu’elle l’ait dans la peau
faut,
faut vraiment qu’elle l’aime
Pour qu’il lance comme ça des couteaux
tout le temps des couteaux
(Merci à Tristan pour cettes paroles)