Album: Derrière moi
Ecoutez moi, refaire l'histoire,
j'aimerais bien vous y voir,
des soirs a liste et accessoires,
et rêve d'autres tournures,
encore des choix qui impliqueraient l'azur,
mais le bruit des cassures,
je suis le propre opposant à ma candidature.
N'écoutez pas, j'ai pris des grandes mesures,
qui n'ont pas survécues, grandeur nature,
on se refait pas, viser sur des plans peu surs,
rassure des fois, sans déconner,
faudra que j'absorbe combien d'années,
pour cracher mes clôtures.
De vous à moi, refaire l'histoire,
j'aimerais bien vous y voir,
des soirs, la gueule dans l'entonnoir,
à compter vos piqures,
aucune entaille, aucune brûlure,
a tirez vos manques à courte paille,
piétiné, crée l' éventail de blessures
excusez moi, nos plaies sont sur mesures,
demain escorte les jours sans courbatures,
m'attendez pas, pour exploiter l'injure au porte voix,
jetez les dés, sans moi,
je n'y repasserai pas, j'ai donné déjà.
Ecoutez moi, redire et repartir comme j'ai appris à faire,
revenu des commentaires, des habitudes,
un peu bousculer les entrailles pour qu'on se sente seul à nouveau,
renaître et renouer devant ses propres flammes,
m'attendez pas, continuez droit devant,
ecoutez plus les prises de plumes qui ont trahi leur rang,
saluez les de ma part, de celle de l'hésitant,
et de nos plumes sanglantes et que la pénitance ne prendra pas,
n'écoutez plus, ce qu'on ne sait pas changer,
ce qu'on a vu du haut de nos coeurs un peu penchés,
toutes ces visions d'ailleurs que l'on construit et que la vie amène rarement à leurs choisis.
confondez pas nos chansons et leur monde,
avec nos vies et parmi elles, toutes les failles que l'on rencontrent,
n'attendez surtout pas que l'Art vous porte,
n'esperez pas régler des comptes avec des notes.
Ecoutez moi, refaire l'histoire,
j'aimerais bien vous y voir,
des soirs a lister accessoires,
et rêve d'autres tournures,
encore des choix qui impliqueraient l'azur,
mais le bruit des cassures,
je suis le propre opposant à ma candidature.
N'écoutez pas, j'ai pris des grandes mesures,
qui n'ont pas survécues, grandeur nature,
on se refait pas, viser sur des plans peu surs,
rassure des fois, sans déconner,
faudra que j'absorbe combien d'années,
pour cracher mes clôtures.
De vous à moi, refaire l'histoire,
j'aimerais bien vous y voir,
des soirs, la gueule dans l'entonnoir,
à compter vos piqures,
aucune entaille, aucune brûlure...
Excusez moi, m'attendez pas, jetez les dés..
Excusez moi, m'attendez pas, jetez les dés..
(Merci à lydia pour cettes paroles)