Album: L'être humain et le réverbère
Dans une de ces villes habitées, je respire la poussière de vanité, canalisée par un monde déshumanisé
Ce qui s'y sont intégré sont ceux qui raclent la crasse, la débâcle, érigée en spectacle.
Je respire la concurrence, l'opulente hiérarchie qui enfume les villes du monde où la finance s'élargie. L'odeur froisse le silence des opprimés en léthargie que la ville se réparti sous les portiques des parvis. Je respire la violence des villes, sa crasse, son poison, ma cervelle intègre le style, l'odeur, le blason. Quand j'arrive devant le portail de ma propre maison, je n'ai pu essuyer mon crâne sur le paillasson.
Si tu n'es pas libre, moi je ne suis pas libre car ton malheur contamine la douceur/l’innocence de mes tréfonds. Ma rétine aspire la saleté qui t'anime, j'aimerais essuyer mon crâne sur le paillasson (X2)
L’extérieur me ronge comme la rouille ronge le fer, incruste mes songes, contamine mon repère, ma cervelle éponge la casse du quotidien, cette saleté du quotidien que l'esprit récupère. S'adapter aux choses horribles c'est en être synonyme. Je suis cousu des fils tissés à l'armature des villes, noués par le sordide que la crasse consolide. L'ignominie torride que la ville endoctrine. Elle et lui croit qu'une fois chez eux, dans leur tour d’ivoire, la répugnance du jour s'oubliera dans leur tiroir mais la crasse des civilisation nous l'amassons sans pouvoir essuyer le crâne sur le paillasson.
Si tu n'es pas libre, moi je ne suis pas libre car ton malheur contamine la douceur/l'innocence de mes tréfonds. Ma rétine aspire la saleté qui t'anime, j'aimerais essuyer mon crâne sur le paillasson (X2)
Je comprends mieux cette envie de faire sa vie dans la brousse. Je pourrais lâcher mon armure, me découvrir d'origine. Je ne serais plus une vermine parmi d'autres qui m'éclaboussent comme la rose tomberait l'épine sans le cueilleur misogyne. Je n'arrive pas à retrouver mon naturel. J'ai cueilli violence et mépris dans les tunnels, les germes de la casse la plus cruelle débordent de mes prunelles et ne s'envolent pas parce que j'arrive au coin de ma ruelle, elle pollue les champs d'enfance que le coeur et le coprs, perturbé par la violence que les villes évaporent. Crasse des civilisations que nous amassons sans pouvoir essuyer le crâne sur le paillasson.
Si tu n'es pas libre, moi je ne suis pas libre car ton malheur contamine la douceur/l'innocence de mes tréfonds. Ma rétine aspire la saleté qui t'anime, j'aimerais essuyer mon crâne sur le paillasson (X2)
(Merci à laurene pour cettes paroles)