[Couplet 1: Adams Diallo]
On dit que ce monde est un mirage donc en fait rien n’est acquis,
Le diable joue avec nous et avec un rien nous taquine,
On se fatigue mais tout part vite comme dans un karting
Où ta future carcasse est garée dans ton parking
Le jour se lève et mon heure fait encore un pas,
J’me tape chaque jour pour rendre à Dieu mon corps intact,
Car toutes mes affaires en fait s’appellent reviens
Et quand je serai dans ma tombe personne me dira je te rejoins.
À la mairie elle t’appartient pour la vie,
Mais cinq ans plus tard avec un autre elle parcourt la ville,
Quant au succès il t’appartient pas, t’accroches as-p,
Si tu loupes le coche, le public te fait un croche-pattes.
Tout ce qu’on t’as prêté, tu le rends même ce que tu bouffes tu le rechies,
Dis-leur : "Chut !" L’argent est un fidèle poto dealer de shit.
Dès le choc que j’ai reçu en sachant qu’on était seul j’me suis dit : "Mehlich il m’reste la foi donc j’mets mon front au sol"
[Refrain: Maitre Gims]
Rien n’tappartient, tu t’attaches aux biens,
Tes amis, ta famille, toutes ces choses qui t’animent…
Mais un jour tout s’arrête, ça freine ta joie de vivre !
Tes attaches, tes habitudes, tout est limité !
Owoh oh ! Owoh oh ! Owoh oh !
Owoh oh ! Owoh oh ! Owoh oh !
[Couplet 2: Maska]
À vouloir tout posséder, tu finis par rien avoir,
On sait bien que tout nous quittera mais notre âme ne veut pas le voir,
Si la vie est une prison le bonheur est au parloir.
Tu t’es vendu pour du liquide car ton honneur n’est qu’une passoire !
Accroché au matériel belek akhi c’est qu’un nuage,
Du quelque des soucis qui vont te noyer, il faut que tu nages.
T’aimais Madame à en mourir, aujourd’hui c’est lui qu’elle aime
Avec la même fougue qu'il y avait dans vos nuits de rêves !
Le propriétaire ne fait que louer une terre jusqu’à sa mort
Ce monde t’appartient autant qu’Hitler avait de remords
La vie est-elle une illusion à laquelle on s’accroche
Où la plus grande des convictions pour laquelle l’homme devient atroce ?
Même mon corps n’est qu’une location j’évite les tatouages,
On s’imagine à la retraite bien qu’on puisse partir à tout âge
Attaché grave à ton pote mais c’est ton pote qui t’a poucave
Il se fouttait de la belle époque… Il a tout avoué !
[Interlude: Klem]
Tout est voué à l’échec, les belles villas, les grosses caisses,
Six pieds sous terre rongé par les vers… !
Tout est voué à l’échec, quelque soit ton style de vie !
Enfoui sous terre même tes partenaires te laissent solo.
[Refrain: Maitre Gims]
Rien n’tappartient, tu t’attaches aux biens,
Tes amis, ta famille, toutes ces choses qui t’animent…
Mais un jour tout s’arrête, ça freine ta joie de vivre !
Tes attaches, tes habitudes, tout est limité !
Owoh oh ! Owoh oh ! Owoh oh !
Owoh oh ! Owoh oh ! Owoh oh !
[Interlude: Klem]
Tout est voué à l’échec, les belles villas, les grosses caisses,
Six pieds sous terre rongé par les vers… !
Tout est voué à l’échec, quelque soit ton style de vie !
Enfoui sous terre même tes partenaires te laissent solo.
[Refrain: Maitre Gims]
Rien n’tappartient, tu t’attaches aux biens,
Tes amis, ta famille, toutes ces choses qui t’animent…
Mais un jour tout s’arrête, ça freine ta joie de vivre !
Tes attaches, tes habitudes, tout est limité !
Owoh oh ! Owoh oh ! Owoh oh !
Owoh oh ! Owoh oh ! Owoh oh !
[Couplet 3: Adams Diallo]
On t’laisse solo sans tes SOS et sans tes frelons
Seul, on t’laisse solo sans tes mômes et sans ton salon
Seul, sans tes « loufts » t’es comme au ballon seul
Seul. (Rien n't'appartient)
On t’laisse solo sans tes SOS et sans tes frelons
Seul, on t’laisse solo sans tes mômes et sans ton salon
Seul, sans tes « loufts » t’es comme au ballon seul
(Rien n't'appartient)
On t’laisse solo sans tes SOS et sans tes frelons
Seul, on t’laisse solo sans tes mômes et sans ton salon
Seul, sans tes « loufts » t’es comme au ballon seul
[Outro: Maitre Gims]
Rien n't'appartient !
Ni ta femme ! Ni tes marmots ni tes biens !
Rien n't'appartient !
Rien n’tappartient…
Rien n't'appartient !
Ni ta femme ! Ni tes marmots ni tes biens !
Rien n’tappartient…