Parfois la nuit je crie, je m'en lève,
Dans mon esprit les cauchemars et les rêves,
Me persécutent et même que j'en crève,
Dans mon âme s'enfonce un large glaive.
Je rêve d'une 'île tropicale, où tout serait plat, bleu chaud et beau.
Mais c'est dans un froid hivernal que les éclairs s'abattent sur mon opaque peau.
Les pluies acides qui rongent mes nerfs.
Cet insoutenable tonnerre.
J'ai été frappé par un, orage mécanique.
Et sous mon lit je crie à l'aide, je panique.
Dans mon pavillon de lumière, il y'aura
Des jeux, des fruits en abondance.
Le cristal brillera mes surs et mes frères,
En attendant notre délivrance.
Ma solitude et mes positions, la mauvaise herbe qui pousse des grains que je sème,
M'ont poussé à cette conclusion, je ne suis pas la solution, plutôt le problème.
Les pluies acides qui rongent mes nerfs.
Cet insoutenable tonnerre.
J'ai été frappé par un, orage mécanique.
Et sous mon lit je crie à l'aide, je panique.
Et je ne sais plus quoi faire,
Quand sur moi gronde le tonnerre.
Et je ne sais plus quoi faire,
Quand sur moi s'abattent les éclairs.
En théorie je suis quelqu'un de très calme,
En pratique je suis incontrôlable.