Из альбома: Les Chevals
Souviens toi de ce vent qui tous les soirs
Tout gamins nous portait dans l’espoir
Ce petit souffle d’air est encore là
Pour nous dire «Mon ami, ne dors pas»
Et tu danses comme toujours entre mes bras
Je suis là, mais le cœur n’y est pas
Je sais on pourrait fermer les yeux
Mais la nuit nous entraîne dans son jeu
Même sur le tard, sur le fil
Je voudrais partir en exil
Vers un autre soir, une autre ville
Je voudrais m’enfuir de cette île
Et ce vent si fragile grandit déjà
Un orage à présent vient vers toi
Je sais on pourrait fermer les yeux
Mais la vie brille encore de ses feux
Même sur le tard, sur le fil
Je voudrais partir en exil
Vers un autre soir, une autre ville
Je voudrais m’enfuir de cette île
Même sur le tard, sur le fil
Je voudrais partir en exil
Vers un autre soir, une autre ville
Je voudrais m’enfuir de cette île