Le téléphone résonne, mais chu là pour personne
Quelqu’un frappe à ma porte, que le diable l’emporte
Les riches vont aux paradis, les pauvres en enfer
Toute bonne volonté finit au fond d’un flacon d’éther
Tout n’est pas question d’argent, de rentabilité
Les poètes meurent avant l’âge, d’avoir trop donné
Les vampires sont tous solidaires, quand ils flairent talent et misère
Ils les dévore à belles dents, sous les yeux de l’engoulevent
Ils jouent l’amitié pour toujours, main de fer et gant de velours
Leur cœur est un désert, sans oasis et sans frontière
Nous sommes-nous déjà rencontrés?
J’ai beau chercher
Pourquoi me poser ces questions?
Je n’ai pas les réponses, surtout plus d’illusions
Négocier avec le diable, son âme a bon marché
Quand vient le marchand de sable, tout est déjà signé
Une goutte de sang au bas d’une page, l’ambition est anthropophage
Peu importe les moyens, la fin justifie le refrain
Y’a toujours un prix à payer, quand la vérité est cachée
Les cœurs deviennent déserts, sans oasis et sans frontières
Nous sommes-nous déjà rencontrés?
J’ai beau chercher
Pourquoi me poser ces questions?
Je n’ai pas les réponses, surtout plus d’illusions
Nous sommes-nous déjà rencontrés?
J’ai beau chercher
Pourquoi me poser ces questions?
Je n’ai pas les réponses, surtout plus d’illusions
Le téléphone résonne, mais chu la pour personne
Quelqu’un frappe à ma porte, que le diable l’emporte
Que le diable les emportent
Que le diable les emportent
Que le diable les emportent
Que le diable les emportent