Pianissimo, je pianote et me révolte au gré des notes qui s'envolent. Je gratte, je gratte, les cordes en pagaille, les mélodies s'affolent. La rue pour terrain de jeu musical, un bout de trottoir, il suffit de peu, voûte céleste en guise de lumière, une ode à l'existence toute entière.

Concert céleste, la lune nous guette, les étoiles se bousculent dans le fond de nos têtes. Pas de grands discours, juste l'histoire du temps qui court, un hymne à la joie, à nos vies anonymes, l'histoire des petites choses qui partout nous entourent, prendre le temps de vivre.. et déceler l'infime.


Un petit bonhomme qui se tord, tel un mort, sur les quatre cordes d'un gros morceau de bois qu'il tient entre ses doigts, un peu de douceur dans ce monde qui meurt.
Mais ça nous fais pas peur, on repeint en couleur les soucis et les pleurs. Mais ça nous fais pas peur, on rit au nez des cons et on reprend tous en cœur...

Concert céleste, la lune nous guette, les étoiles se bousculent dans le fond de nos têtes. Pas de grands discours, juste l'histoire du temps qui court, un hymne à la joie, à nos vies anonymes, l'histoire des petites choses qui partout nous entourent, prendre le temps de vivre.. et déceler l'infime.

A l'aide de ma plume, j'ai ré inventer un monde, où le ciel est toujours bleu, où jamais il ne pleut. Bien sûr que tout n'est pas toujours rose. Mais quelques vers en prose, deux, trois rimes malignes, m'arrachent au train-train quotidien qui frappe à la porte du tout un chacun, l'addiction musicale, ma névrose vitale, notre valse à mille temps qui surgit du néant.

Concert céleste, la lune nous guette, les étoiles se bousculent dans le fond de nos têtes (bis). Pas de grands discours, juste l'histoire du temps qui court, un hymne à la joie, à nos vies anonymes, l'histoire des petites choses qui partout nous entourent, prendre le temps de vivre.. et déceler l'infime.

(Merci à Claire pour cettes paroles)

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