Oh, tous les gens sont comme des animaux,
Qui ne naissent ni libres, ni égaux.
Prétentieux et compliqués,

Ils ont toujours quelque chose à cacher.
Ils s'évitent des yeux, dans les ascenseurs,
Restent silencieux, ne se parlent pas,
Se méfient de toi, et chacun dans sa peur,
Nerveusement font semblant de regarder l'heure

Tous les gens,
Monsieur Tout-le-monde les connaît bien,
Il est l'un d'eux, voilà pourquoi
Monsieur Tout-le-monde ne les aime pas.

Et tous les gens sont hypocrites et menteurs,
Se complaisent dans leurs airs supérieurs,
S'envoient des poignards dans le dos, ou des fleurs,
Et se traînent comme des larves face à la douleur.
Ils ne supportent ni la mort, ni de rester seul,
Ils ne savent jamais vraiment ce qu'ils veulent,
Ils rêvent de pognon, de bagnoles, de maisons,
Et le dernier qui parle a toujours raison.

Tous les gens,
Monsieur Tout-le-monde les connaît bien,
Il est l'un d'eux, voilà pourquoi
Monsieur Tout-le-monde ne les aime pas.
Il ne les aime pas.
Il ne les aime pas.
Il ne les aime pas.
Non, non, ne les aime pas.

Oui, tous les gens sont comme des animaux,
Qui ne naissent ni libres, ni égaux.
Prétentieux et compliqués,
Ils ont toujours quelque chose à cacher.
Ils s'évitent des yeux, dans les ascenseurs,
Restent silencieux, ne se parlent pas,
Se méfient de toi, et chacun dans sa peur,
Nerveusement font semblant de regarder l'heure.

Tous les gens.
Tous les gens.
Tous les gens.
Tous les gens !

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