'Y aura toujours un jour pour ça un jour pour repenser a toi
au fond de mon bouge ou rien ne bouge sauf le souvenir de toi
un fantôme me poursuit comme une ombre de nuit monstrueuse de banalité des mecs comme moi 'y en a des milliers
Une ombre me poursuit, un fantôme de nuit. A chaque fois c'est pareil le bus me réveille
Je monte dedans et je sais que tu n'es pas là je vais donc partir la bas à hurler sans toi
depuis toute une vie pour que tu m'écoutes les phares sur la route lisent sans réfléchir les bandes blanches de mon désir le bus me réveille à 90 à l'heure un tour de vis toutes les heures
Je sème des boulons
depuis toute une vie à hurler sans toi qu'il me faut déjà repartir car pourquoi ici plus qu'ailleurs
si partout ou je suis je suis avec toi à hurler sans toi
une ombre me poursuit monstrueuse de banalité des mecs comme moi 'y en a des milliers
le bus me réveille à 90 à l'heure
un tour de vis toutes les heures
pour que tu m'écoutes les phares sur la route lisent sans réfléchir les bandes blanches de mon désir
(Grazie a jaen-Louis Sarot per questo testo)