Из альбома: Marc-André Fortin
Te souviens-tu, des jours de fête,
Et du plaisir de trop danser?
Et de ces mains qui perdent la tête
Sur un piano désaccordé
Te souviens-tu, y'a quelques jours,
Je ne savais rien de la terre?
J'avais au coeur, tout mon amour,
Un lac aussi grand que la mer
Je suis, si près, des jours d'avant,
Jamais parti, mais de retour
Tout va si vite maintenant
Je vis, une année, dans un jour,
Et si jamais le temps s'arrête
(Si jamais le temps s'arrête)
J'aurai vécu au moins cent ans
Une année dans un jour
.
Te souviens-tu, de ces nuits blanches,
De tant de neige accumulée?
De tous ces printemps qui s'épanchent
Mais qui se figent encore gelés
Je suis l'enfant, de vos humeurs,
De vos folies à corps perdu
De tout' la passion de vos coeurs
Et de l'amour que j'ai reçu
Je suis, si près, des jours d'avant,
Jamais parti, mais de retour
Tout va si vite maintenant
Je vis, une année, dans un jour,
Et si jamais le temps s'arrête
(Si jamais le temps s'arrête)
J'aurai vécu au moins cent ans
Une année dans un jour
Ho, ho, ho
..
J'connais si peu de la tempête
Tu me surprends à chaque tournant
(Tu me surprends)
Je pense à vous, je lève la tête,
Y'a du bonheur qui me surprend
.
Ho, ho, ho, ho
.
(Qui me surprend)
Je suis, si près, des jours d'avant,
Jamais parti, mais de retour
Tout va, si vite, maintenant
Je vis, une année, dans un jour,
Et si jamais le temps s'arrête, ho
J'aurai vécu cent ans
Je suis, si près, des jours d'avant,
Je pense à vous, je lève la tête,
Y'a du bonheur qui me surprend
Ho, ho, ho
.
Et si le temps s'arrête
J'aurai vécu au moins cent ans
Une année dans un jour