Sally attend sa mémoire,
Le parfum des jours heureux,
Et quelques notes de guitare,

Une mélodie, peut-être deux.

Et c’est par hasard,
Un bout de papier, quelques pensées,
De quand l’histoire était belle,
Et que les grands lui disaient :
« Sally, ça tu l’auras le temps,
D’apprendre,
Sally, ça tu l’auras le temps,
D’attendre,
Aussi. »
Mais, le temps tue Sally.

Entends-tu parfois la nuit,
La partition de Paris,
Qui te souffle sans sursis,
Une douce mélodie ?
Elle vole et elle s’envole,
Virevolte, elle s’enfuit,
Mais, tu l’attrapes au vol,
Pour que jamais tu n’oublies.

« Sally, ça tu l’auras le temps,
D’apprendre,
Sally, ça tu l’auras le temps,
D’attendre,
Aussi. »
Mais, le temps tue Sally.

« Sally, ça tu l’auras le temps,
D’apprendre,
Sally, ça tu l’auras le temps,
D’attendre,
Aussi. »
Mais, le temps tue Sally.

« Sally, ça tu l’auras le temps,
D’apprendre,
Sally, ça tu l’auras le temps,
D’attendre,
Aussi. »
Mais, le temps tue Sally.


(Merci à Ely pour cettes paroles)

Комментарии