Emprisonné dans tes cellules,
ta vie se réduit
a tes premiers pat,
livré à moi même
je profite de ce silence
histoire de lire et de relire
des cendre en soie
de l'or dans les doigts
je lit sur tes lèvres
le temps qui passe
et tout qui s'efface
autour de toi
délivre, délivre, délivre moi
en sursis,
toute seule
la ville,
même si dans tes yeux je décèle,
je sais qu'un jours
des armées de maux
désarme mon âme
ta plume à couteau
malgré le temps qui passe
et tout qui s'efface
raconte moi
délivre, délivre moi
les mots me manque pour te dire
le soleil se couche
soudain j'aperçois
délivre délivre délivre moi
(Merci à Elise Domon pour cettes paroles)