Pourquoi faut-il encore que tu remmetes-ça sur le tapis ?
N'a-t-on rien de mieux à faire, entre nous soi-dit,
Que de se plaindre encore une fois des aléas de notre vie,
Comme ça pleure dans les chaumières les veilles de la Sainte-Ovidie ?
Faudrait quand même un peu relativiser ma chérie,
Alors basta les aléas, on verra ça lundi,
basta les aléas, on avait dit qu'on n'en parlerait pas, basta les aléas.
Et puis ce soir on n'est pas là pour ça, alors basta les aléas.
Pourquoi faut-il que l'on désigne un coupable à tout prix,
Et qu'on l'accable, comme si ça ne t'avait pas suffit ?
Et si la paix des braves te fatigue au saut du lit,
C'est que tu n'auras pas à regretter un instant de ta nuit.
Faudrait grandir un peu, et c'est valable pour moi aussi,
Alors, basta les aléas, on arrête les conneries.
Basta les aléas, on avait dit qu'on n'en parlerait pas, basta les aléas.
Et puis ce soir on est pas là pour ça,
Alors basta les aléas, et qui vivra verra.
Basta les aléas et dépêche toi, on y va.
(Merci à Amaël pour cettes paroles)