(Michel Jourdan/Roland Vincent)
Quand le temps nous sera compté
Quand le dernier printemps viendra
En entendant le vent souffler
J'aurai peur que tu prennes froid
Et nous aurons le dos courbé
Par le poids de toute une vie
Et tu auras les joues ridées
À force de m'avoir souri
Au dernier printemps de notre vie
Le soleil se couchera trop tôt
Au dernier printemps de notre vie
Les lilas n'auront jamais été si beaux
Quand j'imagine ce printemps
Si loin et si proche de nous
Je crois voir nos petits-enfants
Enroulés autour de ton cou
Et la tendresse des vieux jours
Viendra comme un soleil d'été
Viendra s'ajouter à l'amour
Mais nous n'en parlerons jamais
Au dernier printemps de notre vie
Le soleil se couchera trop tôt
Au dernier printemps de notre vie
Les lilas n'auront jamais été si beaux
Quand viendra le dernier printemps
Nos curs usés battront moins fort
Nous aurons la force pourtant
Nous deux, de nous aimer encore
Pourtant l'un de nous en chemin
Trop fatigué s'arrêtera
Qui le premier, je n'en sais rien
Mais je voudrais que ce soit moi
Mais je voudrais que ce soit moi
La, la, la, la, la, la, la, la, la