Le bal allait bientôt se terminer,
Devais-je m'en aller ou bien rester ?
L'orchestre allait jouer le tout dernier morceau,
Quand je t'ai vu passer près de moi.
C'était la dernière valse,
Mon cur n'était plus sans amour,
Ensemble, cette valse, nous l'avons dansée pour toujours.
Ainsi va la vie,
Tout est bien fini :
Il me reste une valse et mes larmes.
La, la, la, la, la, la, la, la, la,
La, la, la, la, la, la, la, la, la.
C'était la dernière valse,
Mon cur restait seul sans amour,
Et pourtant cette valse aurait pu durer pour toujours.
La, la, la, la, la, la, la, la, la.
Je vois que s'ouvrent les portes
De la petite chapelle.
Maintenant, voici qu'ils sortent,
Eblouis de soleil.
Qu'elle est belle, qu'elle est belle,
Mais je dois les oublier,
Quand j'aurai vraiment trouvé l'amour,
On dira de moi un jour :
« Qu'elle est belle ! ».
Oui, je crois,
Qu'on peut bâtir un monde avec ses mots d'amour,
Oui, je crois,
Que nous ferons ce monde à nous chaque jour,
Oui, je crois,
Qu'il nous faudra mêler nos larmes et nos joies,
Mais je crois,
Que j'aimerais la vie si je vis avec toi.
Aussi vrai qu'avec un peu d'amour, on fait tourner la Terre,
Aussi vrai que tes yeux sont ma seule lumière,
Aussi vrai que ma vie tient au fil de nos joies,
Oui, je crois,
Que mes jours n'attendaient qu'un mot d'amour de toi,
Je crois,
Que tout l'amour du monde est là quand tu es là,
Je crois,
A chaque vérité qui me viendra de toi,
Oui, je crois !