Из альбома: J'adore la chanson française, Vol. 3

Le myosotis, et puis la rose
Ce sont des fleurs qui disent quelque chose
Mais pour aimer les coquelicots et n’aimer que ça… Faut être idiot !
T’as peut-être raison, oui mais voilà…
Quand je t’aurai dit, tu comprendras !
La première fois que je l’ai vue, elle dormait, à moitié nue
Dans la lumière de l'été, au beau milieu d’un champ de blé
Et sous le corsage blanc, là où battait son cœur
Le soleil, gentiment, faisait vivre une fleur
Comme un p’tit coquelicot, mon âme, comme un p’tit coquelicot.
C’est très curieux comme tes yeux brillent en te rappelant la jolie fille
Ils brillent si fort que c’est un peu trop
Pour expliquer… Les coquelicots !
T’as peut-être raison, seulement voilà, quand je l’ai prise dans mes bras
Elle m’a donné son beau sourire et puis après, sans rien nous dire
Dans la lumière de l'été, on s’est aimé, on s’est aimé
Et j’ai tant appuyé mes lèvres sur son cœur
Qu'à la place du baiser, y’avait comme une fleur
Comme un p’tit coquelicot, mon âme, comme un p’tit coquelicot.
Ça n’est rien d’autre qu’une aventure, ta petite histoire, et je te jure
Qu’elle ne mérite pas un sanglot ni cette passion… Des coquelicots !
Attends la fin, tu comprendras ! Un autre l’aimait qu’elle n’aimait pas
Et le lendemain, quand je l’ai revue, elle dormait à moitié nue
Dans la lumière de l'été, au beau milieu du champ de blé
Mais, sur le corsage blanc, juste à la place du cœur
Y’avait trois gouttes de sang qui faisaient comme une fleur
Comme un p’tit coquelicot, mon âme, un tout p’tit coquelicot.

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