Larsen, tu siffles dans mes oreilles, jusqu'à ce que je saigne.
Larsen, tu n'es jamais le même, c'est pour ça que je t'aime.
Larsen, Ô mon Larsen, j'aimerai te faire à manger des ondes carrées.
Larsen j'ai envie que tu viennes et que tu me prennes.
Larsen, Ô mon Larsen...
(Grazie a francesco per questo testo)