Sur les chemins je vais au loin, souvent
J'abonne ma vie aux absents
Sur ces chemins je te rejoins au temps
quand je reviens au fil du vent
seras-tu là pour me redire, à l'avenir
que l'amour n'est jamais distant ?
de par le monde je m'éloigne hors du temps
j'ai cette ivresse dans le sang
pourtant ton cur demeure mon seul orient
dis-moi encore que tu m'attends
seras tu-là pour me redire, à l'avenir
que l'amour n'est jamais distant ?
je n'avais pas cru la longueur du voyage
qui me sépare de ton image
je n'avais pas cru la longueur du voyage
ma liberté est notre cage
je suis mon étoile sur tous les cadrans
mais je t'appelle comme un enfant
j'ai traversé des jardins en suspens
pour éterniser nos printemps
seras-tu là pour me redire, à l'avenir
que l'amour n'est jamais distant ?
je n'avais pas cru la longueur du voyage
qui me sépare de ton image
je n'avais pas cru la longueur du voyage
ma liberté est notre cage
tous ces mots en forme de cur
sont des gouttes de bonheur
au fil des hautés de mes peurs
t'arriveront-ils à l'heure ?
je n'avais pas cru la longueur du voyage
qui me sépare de ton image
je n'avais pas cru la longueur du voyage
ma liberté est notre cage
je n'avais pas cru la langueur du voyageur
qui me sépare de mon image
je n'avais pas cru la langueur du voyageur
ma liberté est notre cage
(Merci à Till pour cettes paroles)