Je te vois passer tous les matins devant moi
Bien trop vite à chaque fois
J’aimerais te parler même si l’on ne se connaît pas

Savoir où tu vas

Mais tu n’as pas, le temps
Debout sur un fil remué par le vent
Tu passes du rire aux larmes, souvent
Quand on se croise on se dit en dedant

Qu’il ne nous reste plus qu’une vie
A courir sans répit
Sans savoir ce que l’on cherche
Qu’il ne nous reste plus qu’une heure à courir sans douleur
Sans savoir ce qu’on y laisse

Il se peut qu’un jour je reste juste derrière toi
Pour savoir où tu vas
Il se peut qu’un jour ce soit moi qui t’emmène
Pour savoir si l’on saigne

Mais tu n’as pas, le temps
Debout sur un fil remué par le vent
Tu passes du rire aux larmes, souvent
Quand on se croise on se dit en dedant

Qu’il ne nous reste plus qu’une vie
A courir sans répit
Sans savoir ce que l’on cherche
Qu’il ne nous reste plus qu’une heure à courir sans douleur
Sans savoir ce qu’on y laisse

Tu n’as pas, le temps

(Merci à Betty pour cettes paroles)

Комментарии