Из альбома: Petite
Il m’a cramé le cerveau,
Mais mon Dieu, ce que j’aime ça,
Quand tu me crames, Salaud,
Quand tu m’écrases entre tes bras,
Quand tu m’écrases, c’est beau,
Tellement, ça ne parle pas
Ni de vrai, ni de faux,
Juste d’envie jusqu’aux dégâts.
Salaud, je voudrais bien
Que tu m’emmènes
Au fond des toilettes de ce bar,
Ça ressemblait presque à un regard,
Salaud, je t’aime.
Il m’a brisé jusqu’aux os,
Il m’a dit : « Je suis pas le Diable »,
Mais t’étais bien pire, Salaud,
T’étais humain et minable,
Je voudrais t’en vouloir, Salaud,
Mais je m’accroche à tes coups bas,
Comme à une vie, Salaud,
Que je ne m’accorderai pas.
Salaud, je voudrais bien
Que tu m’emmènes
Au fond des toilettes de ce bar,
Ça ressemblait presque à un regard,
Salaud, je t’aime, y'a plus d'espoir.
Lèches moi dans la sueur,
Et puis, lâches moi sur le trottoir,
Parait que ça gonfle les cœurs,
Et moi, je suis quoi dans l’histoire ?
Un sacré bordel, Salaud,
Une envie d’être quelque part,
Quelqu’un, quelque chose,
Mais y’a plus de place dans tes bras.
Salaud, je voudrais bien
Que tu m’emmènes
Au fond des toilettes de ce bar,
Ça ressemblait presque à un regard,
Salaud, je t’aime, y'a plus d'espoir.
Salaud, je t’aime, de désespoir.
Salaud, je t’aime.
Si tu m’aimais, Salaud,
C’est sûr que je ne t’aimerais pas,
Si tu me voyais, Salaud,
C’est sûr que je ne te verrais pas,
Et quand tu me voyais, Salaud,
C'est sûr que je ne te voyais plus,
Et quand tu m’aimais, Salaud,
C’est sûr que je ne t’aimais plus.
Salaud, tu voulais bien
Que je t’emmène
Au fond des toilettes de ce bar,
Ça ressemblait juste à un poignard,
Salaud, je t’aime, de désespoir,
Salaud, je t’aime.
(Merci à Vincent pour cettes paroles)