Dignes, belles,
Elles tournent sur elles-mêmes,
Les rides creusées,
Les larmes n'ont pas séché
Elles dansent sans un bruit
Leurs enfants disparus
Disparus dans la nuit
Leurs enfants perdus
Sur les terres de Piazolla
Muets sont les poètes
À moins de parler bas
Mais dans le clair-obscur,
À l'heure de tous les rêves
Soudain une voix s'élève...
Nunca más !
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar,
Bailar al viento que los desaparecio...
La sangre nunca acaba de gritar,
El viento siempre acaba por cambiar
Folles, elles dansent,
Elles ont vaincu l'oubli
Elles savent la force
Oui jamais ne les trahit
L'histoire est lente
Mais elles font tourner la tête
Ce soir, elles chantent
Les diables sont jugés...
Nunca más !
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar,
Bailar al viento que los desaparecio...
La sangre nunca acaba de gritar,
El viento siempre acaba por cambiar