Из альбома: Chansons éroticoquines
La la la...
Je ne l'entendais pas tant je la regardais
Par sa robe entrouverte au loin je me perdais
Devinant les dessous et brûlé d'ardeur folle
Elle se débattait mais je trouvais ses lèvres
Ce fut un baiser long comme une éternité
Qui tendit nos deux corps dans l'immobilité
Elle se renversa, râlant sous ma caresse
La la la...
Sa poitrine oppressée et dure de tendresse
Haletait fortement avec de longs sanglots
Sa joue était brûlante et ses yeux demi-clos
Et nos bouches et nos sens, nos soupirs se mêlèrent
La la la...
Puis dans la nuit tranquille où la campagne dort
Un cri d'amour monta si terrible et si fort
Que des oiseaux dans l'ombre, effarés s'envolèrent
Ainsi que deux forçats rivés aux mêmes fers
Un lien nous tenait, l'affinité des chairs
La la la...
(Merci à willy pour cettes paroles)