Из альбома: Acte II
L'histoire peine la ou le coeur se rent, et parce que fatigué du reste et plus le temps, des flammes plein la tête, des phrases plein l'écran, des formes qu'on regrettent et que l'on plaint vraiment.
Je n'ai plus rien à défendre, mais j'y mets plus d'une rime pour ne pas redescendre, nos rêves enterrent tout, même les couleurs cachées qu'on ira pas chercher pour vous.
Je sais quelle langue je parle, de quelle rive, de quelle couleur je pars,
Je sais quelle langue je parle,...
L'histoire alors s'y prête pour d'autres langues, des bouches muettes et des corps qui en tremblent, a trente piges, pourtant tout commence, le thème : défigures la vie, mais ne te fais pas prendre!
Plaqué à terre, par toutes les hautes vies, maintenant clair que nos idéaux ne collent pas, t'étonnes plus que de toutes parts, les coups pleuvent et que \"tous peuvent crever autre part\"
On voit qui penche dans l'écreu, on a la force qu'on a pris dans leurs yeux, pas d'emblème, ni d'usure dans les plaintes qu'on embarquent, encore une pour la peine, qui nous dicte et qui prêche des pages vides, qui n'entend plus, qui ne veut pas de nous, qui a flingué son calme? je sais quelle langue je parle.
Je sais quelle langue je parle, je sais quelle langue je parle,
de quelle rive, de quelle couleur je pars,
Je sais quelle langue je parle
(Merci à lydia pour cettes paroles)