[Intro]
Riski soundtrack… la musique du film…
Yeah… fuck all you niggas man
[Couplet 1]
Pète des canettes dans ma grotte
Aigreur au maximum
4X4 pour le pilote, fuck un ÛBER
Fuck un bloggeur, fuck un bwana et la danseuse
Fuck une pop star
Fuck un cheese, braque Mac Do: c'est un fantasme
Quoi de neuf? Il m'en manque huit, l'immeuble grince des dents…
Comme un exta… le goût de la sueur comme un kefta
Surfe sur ma vague d'attentats
Prie pour qu'une Ferrari passe
Cerveau branché à la bécane : rêve projeté sur la glace
Vingt-six années passent, carré d'as plus un valet
Parle aux jeunes parisiens comme si j'ai soixante quinze balais
[Pont] x4
Nigga Tek Tek Nigga Nigga Tek Tek
[Couplet 2]
Ma queue pèse quelques drames le coeur pété pour rien
Ma chaÏne pèse quelques grammes, tout ira très bien
Dors encore quand les sirènes de l'école sonnent
Écris mon bouquin à l'hôtel, comme Jack Nicholson
Mes rêves comme des pièces rouges dans les poches de tout le monde
Chaque rime me tombe du plafond comme un démon
Et tout le monde veut vivre comme dans la chanson
Me flatte des accents hystériques dans le rire
Je conspirais avec les rats quand une femme m'a souri
Wallabee Clarks bleu électrique, recommence la vie
À la BNP sous LSD avec la TNT
Masqué comme "V pour Vendetta", c'est street crédible
Fausse note! Jette un piano sur la police
Les enfants jouent à s'flinguer, Maman joue à Call of Duty
Bébé veut vivre au lit, Rue Louvre Rivoli
(Nigga Tek Tek) on débarque (Riski)… Normandie
[Pont] x4
Nigga Tek Tek Nigga Nigga Tek Tek
[Couplet 3]
Tu peux gueuler taper dans les murs y'a rien à faire
Le ciné continue, tout l'hiver. Éternel hiver
C'est des bobos sudistes, des cadavres nudistes
Dans mon coffre. Derrière la plage arrière
J'ai aboyé : j'ai eu un taf de chien
La ge-ra me travaille, comme une petite faim
Le keuf en face bouffe son sandwich au pâté de chien
On sent mon regard depuis très loin
[Pont] x2
Nigga Tek Tek Nigga Nigga Tek Tek
[Outro]
On faisait du roller au troca', veste à trois boules, casquette Bulls
Les keufs celtiques ont toujours le blues gaulois