Из альбома: Le Jour où je suis devenu fou
Oh Gabrielle, mon ange
J'ai des hallucinations
Je vois mes veines
Contre tes hanches
Ta langue qui prend ma tension
Il faut que cesse ton arrogance
Cette ode à la passion
Tu t'en vas, je me sens exsangue
Je vis, je meurs, brûle et je humm fonds
Mais mouillez vos lèvres
Et inspirez à fond
Car voici Gabrielle
Sur le couplet de la chanson:
Dans un doux bain de mots de cour
Je ba-ana-alise l'Amour
Ainsi font font mes petits mots
Sous l'échancrure de votre dos
ô toi ma marionnette
Par moi, possédé
Ainsi s'effile ta noblesse
T'es plus schizophrène que jamais
Mais Gabrielle : machine virtuelle
Pour de plus âpres aventures
Ce soir contre ce mur
Si on se faisait un petit lasso?
Enlacés, lacérés, z'attachés peaux à peaux
mais poésie mise à part, toi, ça va?
ça va, ça va
Mais Gabrielle: machine virtuelle
Oh Gabrielle, mon ange
J'ai des zzz'hallucinations
Je vois mes veines
Contre tes hanches
Ta langue qui prend ma tension
Il faut que cesse ton arrogance
Cette ode à la passion
Tu t'en vas, je me sens ex-ange
Je vis, je meurs, brûle et je humm fonds
Elle apparaît toujours comme ça
Gabrielle, aux seins de verre
Mon amante imaginaire
Mon fantasme tout en pensée
Quand elle se penche et se cambre
Dans l'esprit barré de mon lit
Mon venin déchire ses hanches
Derrière pudibonde apparence
Mais Gabrielle: machine virtuelle
Je devrais prendre le remède (nooon)
L'apothicaire m'a ordonné (nooooon)
Pour ne plus te revoir, jamais
Enfin me désenvoûter (ttt ttt ttt)
Mais Gabrielle
J'aime tant t'halluciner
Crocs à crocs et accrocs aux accords à crochets
Mais Gabrielle: machine virtuelle
Mais Gabrielle, mon ange
C'est une hallucination
Je vois tes veines
Contre mes hanches
Ma langue qui prend ta tension
Mais cessons cette accoutumance
Cette ode en déraison
Tu t'en vas ? Je me sens exsangue
Je vis, je meurs, brûle et je fonds
Mais Gabrielle, mon ange
Toutes ces autres qui ont une vie
Le cachet... Je te sens partir...
Dans une galaxie lointaine
Gabrielle sous l'avenue-bulle
Serre dans ses fins doigts de verre
Une pilule-libellule
"Rodrigue, je n'en peux plus
Cette chaleur toutes mes nuits"
Elle s'arrête en pleine rue
Et je me sens partir
(Merci à Agathe pour cettes paroles)