Из альбома: Vous n'allez pas repartir les mains vides ?
Il y a des bruits dehors, dans la cuisine... au niveau des portes des placards, et de la machine. il n'y a personne dehors, ni dans le jardin, typiquement un bruit qu'on ignore, probablement un chien... maintenant c'est au grenier, que j'entends des pas, il faut aller vérifier qu'on ne nous cambriole pas.
non il n'y a rien, non il n'y a rien ! nous devenons fous, mais nous voyons bien qu'il n'y a rien, qu'il n'y a rien, que ça bouge près des coussins... non il n'y a rien, non il n'y a rien ! nous devenons fous, mais nous voyons bien, qu'il n'y a rien, qu'il n'y a rien, pourtant ça bouge, près des coussins...
je suis toujours en ?????????, quand j'essaie de me distraire... les torchons et les serviettes, virevoltent dans l'air ! nous sommes devenues notre action, pour tout le village, on nous prends pour des cons et le bruit se propage...
ce sont les pommes, ce sont les pommes qui dégringolent dans les escaliers. ce sont des pommes, ce sont des pommes, elles traversent les portes, pour nous effrayer ! ce sont les pommes, ce sont les pommes qui dégringolent dans les escaliers. ce sont des pommes, ce sont des pommes, elles traversent les portes, pour nous effrayer !
qui les manipulent ? c'est le fantôme du couloir ! il aime les fruits et les légumes, et dormir dans mon plumard. je l'ai vu l'autre nuit, il est transparent, un peu bossu et aujourd'hui je veux quitter l'appartement.
car ce sont les pommes, ce sont les pommes, elles sont venues nous éliminer. ce sont des pommes, ce sont des pommes, qui font bouger les meubles et l'acier. ce sont les pommes, ce sont les pommes, nous avons beaux exorciser. ce sont des pommes, ce sont des pommes qui sont venues pour nous torturer. ce sont les pommes, ce sont les pommes, elles sont venues nous éliminer. ce sont les pommes, ce sont les pommes qui font bouger le meuble et l'acier. ce sont les pommes, ce sont les pommes, nous avons beaux exorciser. ce sont les pommes, ce sont les pommes qui sont venues pour nous torturer.
(Merci à Flavie Maulavé pour cettes paroles)