J'entends les sirènes qui hurlent
Dans la rue
Les civières s'accumulent
Des regards remplis d'effroi
Nous paralysent
Quand perdus sous les drames
La ville s'enlise

Le paradis brûle
Tous les dieux capitulent
Il faut noyer l'œdème des larmes de nos peines

Je vois des corps dans le désert
Des casques gisant dans la poussière
Le tumulte des armes a fait place au silence
Tournoyant dans le ciel les vautours s'avancent

Le paradis brûle
Tous les dieux capitulent
Il faut noyer l'œdème des larmes de nos peines

Le paradis brûle
Tous les dieux capitulent
Il faut noyer l'œdème des larmes de nos peines

Les gardiens de nos vies
On préféré s'enfuir
Nous n'avons plus d'abri
Apprenons à souffrir
Le pire reste à venir

Le paradis brûle
Tous les dieux capitulent
Il faut noyer l'œdème des larmes de no peines

Le paradis brûle
Tous les dieux capitulent
Il faut noyer l'œdème de larme de no peines

Le paradis brûle
Tous les dieux capitulent
Il faut noyer l'œdème des larmes de no peine

Le paradis brûle

(Merci à Piastol pour cettes paroles)

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