Из альбома: Escale au Grand Rex

(feat Cesaria Evora)

Elle chante un peu voil? souple comme le vent
C'est une m?lodie sans paroles hors du temps
Elle chante les yeux ferm?s en fl?chissant le cou
Plong?e dans un pays tr?s ?loign? de vous

Alors les mots qu'elle improvise
Sont faits de violence et d couleurs
Sa voix qui ?tait fluide d'abord se brise et se renforce
Comme les blessures de l'?me dans la profondeur de l'?corce

Mais d'o? lui vient cette infinie douceur
Cette sensualit? m?lang?e de pudeur
Ses belles mains quand elles se posent
Sur une ?paule ou sur mon bras
Tout se m?tamorphose
On oublie la mort on s'en va

Elle chante la terre rouge la s?che la st?rile
Elle chante les hommes proscrits les sans terre dans les villes
Les jeunes filles en noir et tous les enfants dans les rues
Les longues ann?es sans pluie et ceux qu'on n'a jamais revus

Elle a ce don cette lumi?re pour chanter des mots ? sa terre
Le r?ve qui la berce devient un grande vent ravageur
Et puis innocemment parle d'amour et de chaleur

Mais d'o? lui vient cette infinie douceur
Cette sensualit? m?lang?e de pudeur
Ses belles mains quand elles se posent
Sur une ?paule ou sur mon bras
Tout se m?tamorphose
On oublie la mort on s'en va

Elle chante des mots qu'elle improvise
Venus de loin des profondeurs
Sa voix qui ?tait fluide d'abord se brise et se renforce
Elle est la vie la mort la fragilit? et la force
Elle est la vie la mort la fragilit? et la force

(Merci ? daywid pour cettes paroles)

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