c'est bien ici bas
que j'ai voulu la guerre
je rentre chez moi tu n'es pas là
que suis-je sans toi
c'est bien ici bas
que j'ai voulu la liesse
drôle de vie qui fait pauvre de moi
un pantin de bois
c'est comme un long chapelet
qui porte ton nom
que j'égraine en vain
je compte mes prière
ballader mon spleen
et m'étourdir est bon
je pense à la fuite
de tous mes rêves
toi marie qui voit
du haut de ton donjon
colonie de pantins
de pauvres erres
l'âme éperdue
plongée dans la confusion
je t'en prie sois là
exhauce mes prières
c'est comme un doux vent
qui gémit et je plonge
un à un mes yeux
dans l'onde et la lumière
partager mon spleen
et m'étourdir est bon
je pense à nos âmes
qui s'élèvent
toi marie qui voit
du haut de ton donjon
combien je vacille
combien je peine
je fais voeux de vie
voeux de comtemplation
exhauce-moi oh j'existe
pour qu'on m'aime
(Merci à Véro pour cettes paroles)